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Permanence sociale
La Fédération du spectacle CGT tient une permanence sociale tous les 2e et 4e vendredis de chaque mois afin de répondre aux questions des salariés concernant leurs droits sociaux tels que l’assurance chômage, la sécurité sociale, la retraite, …
- en appelant le 01 48 03 87 60 de 9h30 à 13h
- en écrivant à permanencesociale@fnsac-cgt.com
Presse

Les intermittents du spectacle bénéficient-ils d’un régime « privilégié » d’indemnisation du chômage ?
Par Mathieu Grégoire, Maître de conférences en sociologie à l’université de Picardie-Jules-Verne.
Alors qu’ils ne représentent que 3,5 % des allocataires, les intermittents seraient responsables d’un quart du déficit de l’assurance-chômage.
C’est faux, car le déficit de 1 milliard d’euros attribué aux intermittents n’a rien à voir avec le soi-disant « déficit » de l’Unedic !
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PLAN DE SORTIE DE CRISE
/dans À la une/par Corynne AiméDepuis plusieurs mois, des organisations syndicales et
associatives convergent, convaincues que les réponses
aux urgences sociales et écologiques doivent être
construites ensemble…lire la suite ici : https://www.cgt.fr/sites/default/files/2020-05/Document%20plan%20de%20sortie%20de%20crise%20en%20version%20int%C3%A9gral.pdf.
APRÈS LES ANNONCES DU 6 MAI, OÙ SONT LES MESURES CONCRÈTES ?
/dans À la une/par Corynne AiméCULTURE, INTERMITTENTS DU SPECTACLE, ASSURANCE CHÔMAGE
Le Président de la République a pris la peine de médiatiser sa rencontre du 6 mai avec quelques artistes pour annoncer « des mesures fortes » en faveur de la culture.
Depuis ces annonces, nous attendons et réclamons des précisions sur la méthode et sur le fond.
Concernant la prolongation des droits des intermittents du spectacle au 31 août 2021, le ministre de la Culture a garanti publiquement que les organisations syndicales et patronales seraient consultées sur les projets de texte
Nous rappelons que la CGT spectacle, et plus largement la très grande majorité de la profession qui s’est mobilisée, revendique pour les intermittents du spectacle :
•Le report d’un an de toutes les dates anniversaires pendant toute la période d’interdiction administrative suivie d’un an. Cette mesure peut être valable jusqu’au 31 août 2021 mais nous ne voulons pas d’un couperet à cette date ;
•La non-application et l’adaptation des franchises ;
•L’ouverture de droits pour toutes les femmes revenant de congés maternité, ou tous les allocataires revenant d’arrêt maladie (longue durée) ;
•L’ouverture de droits pour les nouveaux entrants …
Nous demandons également l’annulation de la réforme du régime général et son adaptation que réclame notre confédération, réforme de plus en plus intenable : des professionnels de nos secteurs comme de tous les métiers sont durement touchés par les mesures du 1er novembre 2019 ou celles devant entrer en vigueur au 1er septembre 2020. Ces mesures sont injustes avant même le confinement, encore plus inacceptables depuis la crise de l’emploi due au Covid. Des annonces ont également été faites sur les conditions sanitaires de la reprise et sur la relance de nos secteurs. Quelques-unes de ses annonces sont concrètes, comme l’attribution de 50 millions pour le Centre national de la musique, ou le fonds de garantie permettant d’assurer la reprise des tournages.
Mais la plupart d’entre elles sont très floues ! Beaucoup de questions sont en suspens :
•Les conditions d’application de l’activité partielle, qui reste un parcours d’obstacles pour les salariés et pour la part d’entreprises qui jouent le jeu de ne pas abandonner leurs salariés précaires en n’annulant pas leurs contrats ;
•Les conditions de la reprise et la consultation des représentants du personnel, surtout dans les lieux devant accueillir du public ;
•Le soutien aux autrices et aux auteurs, pour l’instant quasi nul …
Enfin, il est absolument nécessaire, pour sortir de cette crise, de penser un plan de relance ambitieux de la Culture. Il passe par une redéfinition des politiques publiques et un vaste plan d’investissement, dans la production et la diffusion, de soutien aux entreprises, fléché vers l’emploi permanent et intermittent, la mise à contribution des GAFA…
Ce mercredi 20 mai, Pôle Emploi annonce sur son site la prolongation jusqu’au 30 juin des mesures provisoires courant initialement jusqu’au 31 mai.
Il s’agit d’une mesure « technique » pour permettre la prolongation des droits sans rupture, pour celles et ceux arrivant en fin de droits, désormais jusqu’au 30 juin 2020.
Pôle Emploi précise que cela ne présage pas des décisions qui seront prises par le gouvernement pour traduire les annonces d’Emmanuel Macron du 6 mai dernier.
À ce jour, malgré ses engagements, le gouvernement ne nous a toujours transmis aucun projet de texte et n’a pas convoqué de réunion nous permettant d’en négocier le contenu.
Comme sur le régime général d’assurance chômage, il est urgent d’obtenir ces textes et de pouvoir les porter à la connaissance de toutes celles et tous ceux que cela concerne avant de prendre des décisions.
Préparons-nous à des actions sous diverses formes pour interpeller les élu-e-s locaux et nationaux et les ministres du Travail et de la Culture!
AIDE A LA DECLARATION D’IMPÔT
/dans À la une, Fiscalité/par Corynne AiméLa déclaration des frais professionnels réels engagés par les artistes
optent pour la déclaration de leurs frais professionnels pour leur montant réel et justifié peuvent bénéficier de 2 forfaits
spécifiques aux professions artistiques, l’un de 14%, l’autre de 5 %. La doctrine de l’administration fiscale relative aux frais
professionnels est intégrée dans la base Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts (BOFIP-Impôts) depuis le
31 décembre 2013. Cette base est accessible en ligne. Pour les frais professionnels réels et plus spécialement pour les frais
spécifiques aux professions artistiques, voir :
BOI-RSA-BASE-30-50-30-30 (à partir de 440)
http://bofip.impots.gouv.fr/bofip/7671-PGP.html?identifiant=BOI-RSA-BASE-30-50-30-30-20170621
Le BOFIP a été actualisé le 18 juillet 2013 par des Précisions relatives aux frais réels spécifiques des artistes musiciens –
Réponse Ministérielle (RM Dolez n°2091, JO AN du 11 novembre 2002) -Jurisprudence (CE, avis du 8 mars 2013 n°353782)
qui ont pour objet principal de fixer dans quelles circonstances peut être invoquée l’application des déductions forfaitaires de
14% et 5%.
La doctrine de l’administration fiscale est consultable.
Sur base BOFIP-Impôts (Instr. 7 sept. 2012 : BOI 13 A-2-12, 7 sept. 2012), voir :
http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2012/09/cir_35789.pdf
Artistes musiciens, artistes chorégraphiques, artistes lyriques et choristes dont les revenus proviennent
exclusivement d’activités artistiques
Les artistes musiciens, artistes chorégraphiques, artistes lyriques et choristes dont les revenus proviennent exclusivement
d’activités artistiques continuent de pouvoir invoquer l’application des 14% et 5%.
Artistes/enseignants dont les revenus proviennent de l’enseignement et d’une activité artistique
La doctrine de l’administration fiscale semble distinguer entre les artistes/enseignants selon que leur activité artistique
présente un caractère accessoire ou non. Lorsqu’un artiste/enseignant exerce une activité d’enseignement à titre accessoire,
il peut invoquer l’application des 14% et 5% non seulement à ses revenus artistiques mais aussi à ses revenus tirés de
l’enseignement. En revanche, lorsqu’un artiste/enseignant exerce une activité artistique à titre accessoire, il ne peut
appliquer les 14% et 5% qu’à ses revenus tirés de son activité artistique.
Enseignants des disciplines artistiques qui tirent leurs revenus d’une activité d’enseignement exclusivement
Les enseignants de disciplines artistiques, notamment la musique, ne peuvent invoquer le bénéfice de l’application des
déductions forfaitaires de 14% et 5% aux revenus qu’ils tirent de l’enseignement.
Les forfaits de 14% et 5% peuvent s’appliquer, sur le montant maximal de 126 270 euros pour 2019 sur le salaire net
imposable, auquel s’ajoutent, s’il y a lieu :
A. FRAIS PROFESSIONNELS CORRESPONDANT AU MONTANT FORFAITAIRE DE 14 % (2)
Pour les artistes musiciens instrumentistes
d’emprunts contractés pour l’acquisition d’un instrument ne sont pas compris dans le forfait de 14 % ; ils sont
déductibles pour leur montant réel acquitté au cours de l’année d’imposition) ;
disques, casques, micros… ;
(2) Les forfaits de 14 % et 5 % sont indépendants l’un de l’autre. Les artistes peuvent opter pour les deux forfaits, ou pour un seulement, ou pour aucun
selon le montant des frais réellement engagés. Au cas où le montant des frais énumérés ci-dessus dépasserait le forfait correspondant, celui-ci peut
être abandonné et les frais sont déclarés pour leur montant réel qui doit alors être justifié. Les frais compris dans les forfaits n’ont pas à être justifiés,
dès lors que la qualité d’artiste est incontestable.
(3) Les frais de garage, de parking et les frais de péage d’autoroute engagés pour l’exercice de la profession peuvent, sur justificatifs, être ajoutés au
montant des frais de transport définis ci-dessus.
Pour les artistes musiciens chorégraphiques et lyriques
honoraires de pianiste répétiteur, les cours de langues étrangères pour les choristes selon les nécessités du répertoire ;
d’acupuncture, les soins dentaires (notamment de prothèse), les frais médicaux liés au contrôle ou à l’entretien des cordes
vocales, tous autres soins médicaux en relation avec l’activité professionnelle ;
frais d’acquisition et d’utilisation de matériels techniques (Les intérêts d’emprunts contractés pour l’acquisition d’un
instrument ne sont pas compris dans le forfait de 14 % ; ils sont déductibles pour leur montant réel acquitté au cours de
l’année d’imposition).
B. FRAIS PROFESSIONNELS CORRESPONDANT AU MONTANT FORFAITAIRE DE 5 % (2)
Pour l’ensemble des professions artistiques (artistes dramatiques, lyriques, cinématographiques ou chorégraphiques,
artistes musiciens, choristes, chefs d’orchestre et régisseurs de théâtre) :
choristes.
C. AUTRES FRAIS PROFESSIONNELS DÉCLARÉS POUR LEUR MONTANT RÉEL
C1. Frais de transport entre le domicile et le lieu de travail (3)
Deux cas de figure peuvent se présenter : la distance entre le domicile et le lieu de travail est :
a) inférieure ou égale à 40 km ; les seuls justificatifs à fournir concernent l’utilisation du véhicule personnel et le nombre
d’allers et retours dans la journée.
b) supérieure à 40 km ; la prise en compte de la totalité des frais de transport sera effective si l’éloignement ne résulte pas
d’un choix personnel. A défaut, la déduction des frais de transport est limitée à 40 km.
Les frais engendrés par l’utilisation d’un véhicule personnel sont calculés selon le barème administratif. Si le véhicule est
acheté à crédit, on peut déduire la proportion des intérêts correspondant à l’utilisation professionnelle du véhicule.
C2. Autres frais de transport (3)
Dépenses engagées pour toute activité professionnelle en dehors des frais cités au précédent paragraphe, par exemple
dans le cadre d’un contrat avec un employeur occasionnel.
C3. Frais supplémentaires de repas sur le lieu de travail
Il s’agit des dépenses supportées lorsque les repas ne peuvent pas être pris au domicile en raison des horaires de travail
ou de l’éloignement. Ces dépenses ne sont pas prises en compte s’il existe une cantine ou un restaurant d’entreprise (à
moins d’une nécessité médicale).
Compte tenu de ce que les frais de nourriture constituent une dépense d’ordre personnel, la dépense réelle est diminuée de
la valeur du repas qui aurait été pris au domicile, soit 4,85 euros pour l’année 2019. La dépense supplémentaire est diminuée
de la participation de l’employeur, le cas échéant, à l’acquisition de titres restaurant. En l’absence de justificatifs
suffisamment précis, la dépense supplémentaire par repas peut être évaluée forfaitairement à 4,85 euros pour l’année 2019.
C4. Frais de repas et d’hébergement en déplacement
Dépenses de repas et d’hébergement engagées pour toute activité professionnelle en dehors du lieu de travail. Lorsque
l’artiste perçoit certaines allocations, indemnités ou remboursements de frais de la part de l’employeur, ces sommes sont à
intégrer aux salaires perçus et les dépenses sont déclarées pour leur montant réel et justifiable.
Cependant, il est admis par l’administration fiscale que NE SONT PAS à intégrer aux salaires :
les remboursements de frais de déplacement, alloués pendant la durée de la saison aux artistes musiciens, chefs
d’orchestre et autres professionnels du spectacle engagés par les casinos ou les théâtres municipaux ;
transport et de séjour (hébergement et repas) qu’ils exposent lors de leurs déplacements professionnels, notamment à
l’occasion des tournées des orchestres en France ou à l’étranger ou de la participation à des festivals ;
nourriture qu’ils supportent à l’occasion de leurs déplacements, aux artistes dramatiques, lyriques et chorégraphiques ainsi
qu’aux régisseurs de théâtre qui participent à des tournées théâtrales (instruction ministérielle du 30 décembre 1998).
Par contre, dans ce cas, bien évidemment, l’artiste ne peut pas déduire les dépenses censées être couvertes par les
sommes perçues.
C5. Frais de formation et de documentation
musicien) ;
danse, notamment, engagés en vue de se perfectionner, enrichir le répertoire ou simplement entretenir les qualités
artistiques ;
prestigieux.
C6. Frais de local professionnel
Les services des impôts admettent que certains salariés affectent une partie de leur habitation à leur activité professionnelle.
C’est ainsi qu’il est admis que pour les artistes musiciens, l’affectation d’une pièce de la résidence principale à des fins
professionnelles sera justifiée par la disposition au domicile d’instruments de musique dédiés aux répétitions ou par la
réalisation d’agencements spécifiques comme l’insonorisation. Cette pièce peut être affectée en partie ou en totalité à
l’activité professionnelle.
Ainsi, il peut être admis que la partie d’un logement affectée à l’exercice de la profession représente :
Pour une surface supérieure, la revendication doit être justifiée.
Le pourcentage déterminé entre le local professionnel et la surface totale de l’habitation s’applique :
chauffage, de primes d’assurance…,
collectivités locales (ex. : taxe d’enlèvement des ordures, taxe de balayage…),
agrandissement, ou pour sa reconstruction partielle.
C7. Frais de matériel, mobilier et fournitures autres que ceux visés aux A et B ci-dessus
Ce sont des frais se rapportant à l’exercice de la profession :
En cas d’utilisation mixte, la dépense doit être réduite en proportion de l’utilisation à des fins privées.
C8. Cotisations professionnelles
a) Les cotisations syndicales sont déclarées pour leur montant réel sans limitation.
b) Les cotisations pour assurance professionnelle peuvent être déduites sous certaines conditions, notamment lorsque
l’assurance est obligatoire (convention collective, accord d’établissement…).
Bien que n’en ayant jamais eu aucune confirmation, le SNAM estime légitime de déduire les cotisations d’une assurance
professionnelle non obligatoire.
C9. Autres frais
a) Les dépenses engagées pour l’exercice du mandat de représentation du personnel (délégué syndical, délégué du
personnel…) ont le caractère de frais professionnels, déduction faite des allocations pour frais ou remboursements de frais
de la part de l’employeur.
b) Tous autres frais ayant un caractère professionnel ne figurant pas dans les rubriques de ce mode d’emploi. Par exemple,
les frais de déménagement, y compris les frais de transport des personnes, occasionnés pour les besoins d’un nouvel
emploi ou d’une nouvelle affectation dans l’emploi occupé.
D. FRAIS PROFESSIONNELS SPÉCIFIQUES AUX ARTISTES INTERMITTENTS
Les artistes intermittents peuvent déduire les dépenses liées à la recherche de leurs emplois successifs (frais de
déplacement, de communications téléphoniques, de photographies, de confection et d’envoi de CV, d’inscription à des
annuaires professionnels…), ainsi que celles relatives à l’entretien et au développement de leurs connaissances ou de leur
pratique professionnelle.
JUSTIFICATIFS
Tous les justificatifs des frais listés (hormis pour les forfaits de 14 % et 5 %) doivent être tenus à la disposition de l’inspection
des impôts. Cela ne signifie pas qu’ils doivent être joints à la déclaration des revenus, mais ils doivent être conservés jusqu’à
la fin de la 3ème année suivant celle au titre de laquelle l’imposition est due (ce délai est appelé «délai de reprise»), afin de
pouvoir les présenter à l’inspection des impôts en cas de contrôle.
Exemple : pour les revenus de 2019 (déclarés en 2020), les justificatifs pourront être demandés par l’inspection des impôts
jusqu’au 31 décembre 2022, date d’expiration du «délai de reprise».
De la même façon, les contribuables bénéficient du même délai pour exposer leurs réclamations.
30 avril 2020
ÉTAT DÉTAILLÉ DES FRAIS PROFESSIONNELS DÉDUITS POUR LEUR MONTANT RÉEL
(Professions artistiques)
Nom et prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Profession exercée : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Revenu imposable : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mes frais professionnels, déduits pour leur montant réel sur le fondement des dispositions du septième
alinéa du 3° de l’article 83 du code général des impôts telles qu’elles sont précisées par le Bulletin officiel
des Finances publiques-Impôts (BOFIP) BOI-RSA-BASE-30-50-30-20170621, s’établissent comme suit
pour l’imposition de mes rémunérations de l’année 2019 :
NATURE DES FRAIS FORFAITAIRES MONTANTS
A. Frais d’instrument(s) de musique et frais accessoires
(Artistes musiciens) :
Frais de formation, frais médicaux et frais d’instrument(s)
de musique et périphériques (Artistes chorégraphiques,
lyriques et choristes) : 14 % de R(1), soit : euros
B. Frais vestimentaires et de coiffure, de représentation,
de communications téléphoniques professionnelles,
de formation et de fournitures diverses (partitions, pupitre…) 5 % de R(1), soit : euros
NATURE DES FRAIS RÉELS MONTANTS
C1. Frais de transport entre le domicile et le lieu de travail (2) euros
C2. Autres frais de transport (2) euros
C3. Frais supplémentaires de repas sur le lieu de travail euros
C4. Frais de repas et d’hébergement en déplacement euros
C5. Frais de formation et de documentation euros
C6. Frais de local professionnel euros
C7. Frais de matériel, mobilier et fournitures
autres que celles visées au B ci-dessus euros
C8. Cotisations professionnelles euros
C9. Autres frais euros
D . Artistes intermittents : frais pour recherche d’emploi euros
TOTAL DES FRAIS DÉDUITS
(à reporter à la ligne correspondante de la déclaration) euros
(1) R = Rémunération déclarée au titre de l’activité artistique concernée, c’est-à-dire nette notamment de
cotisations sociales obligatoires et de la part déductible de la CSG, le cas échéant plafonnée à 126 270 euros.
(2) Le cas échéant, applications des barèmes administratifs du prix de revient kilométrique des véhicules
automobiles ou deux roues à moteur :
Puissance fiscale du (des) véhicule(s) : ………… cv ou cm3 ………… cv ou cm3
Kilométrage professionnel parcouru : ………… km ………… km
Frais déductibles (à reporter lignes C1 et/ou C2) : ………… euros ………… euros